Les Joies de plein air
Albert t’Serstevens
« Il n’y a, pour moi, aucune joie au monde, même écrire, qui vaille le voyage et les autres joies de plein air. » C’est avec ce bel enthousiasme que t’Serstevens commence son éloge du voyage, qui se révèle aussi une apologie un peu narquoise du sport en général.