La Désobéissance de l’architecte
Renzo Piano
Pour Renzo Piano, la désobéissance est la seule façon d’exercer le métier d’architecte, car elle permet de prendre un temps d’avance sur son temps. La Désobéissance de l’architecte est une sorte d’autobiographie qui, de Gênes, nous mène au centre Georges-Pompidou, à Paris, de la Postdamer Platz de Berlin à l’auditorium de Rome, du centre culturel Jean-Marie-Djibaou, en Nouvelle-Calédonie, au musée de Sarajevo, mais c’est aussi le manifeste d’un créateur enthousiaste et réaliste, ouvert à toutes les disciplines, qui compte des amis dans tous les domaines de la création.
Né en 1937 à Gênes, Renzo Piano est un des grands architectes de notre temps. Il dirige aujourd’hui plusieurs cabinets, à Gênes, à Paris – où il vit – et à Berlin, qui, sous la dénomination de « Renzo Piano Building Workshop », rassemblent une centaine de collaborateurs, architectes, ingénieurs et spécialistes divers.