Kizu, à travers les fissures de la ville
Michaël Ferrier
Kizu, c’est la blessure, la fêlure. C’est un mot japonais qui désigne aussi bien un trouble de l’âme qu’une trace de canif ou l’imperfection d’un objet.
Un homme, à Tokyo, voit apparaître dans sa vie, en même temps que la première fissure, la très belle Yuko, si belle qu’on aurait presque pu croire qu’elle ne mourrait jamais.
Glissements, secousses, convulsions souterraines, le quotidien se remplit alors d’inquiétudes.