Ces choses qui font battre le cœur au Japon et ailleurs
Elena Janvier
Choses apprises inutilement – ou qui font battre le cœur. Choses légères, magnifiques ou difficiles : ainsi s’écrit pour Sei Shônagon, au début du XIe siècle, la menue monnaie des jours, au fil du pinceau, dans ses Notes de chevet.
Nous qui ne sommes ni du Japon ni d’autrefois, mettons nos pas dans les siens, dans l’intimité des multiples savoirs ou ignorances de nos vies. Car depuis les premiers pas, les premiers mots, nous ne cessons d’apprendre. C’est parfois un pays lointain qui nous instruit, le hasard des rues, le carrefour des songes.
E. J.